NOS ASSURANCES PROFESSIONNELLES
Patron
Que ce soit une assurance obligatoire ou non, il est essentiel de couvrir les dégâts corporels de toutes les personnes travaillant pour le compte de votre entreprise.
Couvrir les dégâts corporels de toutes les personnes travaillant pour vous est une obligation.
Patron
N’oubliez pas d’assurer une des personnes essentielles au bon fonctionnement d’une entreprise. Que ce
soit dans le cadre de la vie professionnelle ou de la vie privée, un accident est vite arrivé. Cette
police indemnise les frais médicaux (non couverts par la mutualité et l’hospitalisation) en cas
d’invalidité (permanente/temporaire) ou de décès des suites d’un accident.
Salarié
Un accident du travail est un accident qui survient à un salarié pendant ou par le fait de l’exécution
de son contrat de travail. Il peut se produire sur le lieu même ou sur le chemin du travail. Tout
employeur doit obligatoirement couvrir son personnel contre cette éventualité. L’assurance rembourse les
frais et peut accorder une indemnité en cas d’incapacité. Mais celle-ci est plafonnée.
Il doit s’agir d’un événement soudain qui cause une blessure à l’employé. Si le dommage n’est que matériel, il ne s’agit pas d’un accident du travail. C’est l’événement soudain qui doit avoir causé l’accident. Il doit y avoir lien de causalité. L’accident doit intervenir pendant et en exécutant le contrat de travail sur le lieu de travail. Si l’employé l’a quitté sans permission, cela ne compte pas. Au contraire, s’il doit se rendre à une réunion à l’extérieur et en dehors de ses heures normales de travail et qu’un accident survient, cela entre en ligne de compte. De même s’il se produit sur le chemin du travail, pourvu qu’il s’agisse du trajet « normal ». La loi oblige tout employeur à couvrir ses employés au moyen d’une assurance accidents du travail. Celle-ci remboursera les frais médicaux, d’hôpital, de prothèse, etc. Elle prévoit également le versement d’indemnités journalières en cas d’incapacité partielle ou totale résultant de l’accident. L’indemnisation est calculée sur base du salaire de la victime tous avantages compris, mais elle est plafonnée (36.809,73 euros / an pour 2010). Les employés bénéficiant d’un salaire plus élevé peuvent donc avoir intérêt à souscrire une assurance complémentaire couvrant l’excédent de salaire. Ou à demander à leur patron de le faire.
Hospitalisation
Une couverture groupée pour assurer les soins médicaux ? Nous avons les solutions adaptées à vos
volontés. Des enquêtes le montrent : l’assurance hospitalisation est un avantage salarial très prisé par
les travailleurs, en 2e ou 3e position derrière la voiture de société et le GSM. Les PME se montrent
cependant plus réticentes que les grandes entreprises à l’octroyer. A tort...
Les grandes entreprises sont
plus nombreuses que les PME à proposer une assurance hospitalisation à leurs salariés. Toutes les
entreprises occupant plus de 500 salariés et interrogées par l’enquête accordent cet avantage. Dans les
PME en revanche, l’assurance hospitalisation disparaît du Top 5 des avantages les plus octroyés pour ne
plus figurer qu’à la huitième place.
Les salariés de toutes les entreprises sont très satisfaits de cet avantage. L’assurance hospitalisation obtient un score de satisfaction moyen de 7,9 sur 10, comme la voiture de société. C’est qu’elle peut s’avérer onéreuse pour les particuliers, alors que les primes baissent considérablement lorsqu’un employeur propose une police de groupe. Et rien n’empêche ce dernier de demander une participation financière à ses salariés.
La prime versée par l’employeur pour affilier son salarié à une assurance hospitalisation n’est pas considérée comme faisant partie du salaire. Il n’est donc pas nécessaire de payer l’ONSS.
Le fisc ne considère pas les primes que verse l'employeur comme un avantage imposable. Pas plus que les indemnités perçues en cas d'intervention de l'assurance. L'employeur ne peut toutefois pas déduire les primes à titre de frais professionnel.
L'assurance hospitalisation peut également être élargie au partenaire et aux enfants du salarié. L’employeur peut prendre les primes à sa charge ou les retenir sur le salaire de son employé.